Le Théâtre des Margandiers

Le Théâtre des Margandiers

Saison 2008 - 2009 "24 images secondes" d'après Boris VIAN

 

Photos du spectacle

 

 

Le mot du metteur en scène

 

 

Montage cinémato-théâtro-musico-humoristique.

 

24 images / seconde c'est l'histoire d'une troupe de théâtre (Les Margandiers) abandonnée par son metteur en scène au plus mauvais moment c'est à dire à l'heure des représentations. Tout est prévu : affiches,  programmes,  distribution, salles réservées, public, presse, tout ... sauf la mise en scène.

Pourquoi cet homme jusque là irréprochable, courageux, généreux, oui, pourquoi ce grand professionnel charismatique décide tout à coup de quitter Bourg-lès-Valence pour partir aux Amériques ?

 Mystère.

Pourquoi brusquement cet homme paisible devient-il le plus fantasque des mythomanes ?

Encore mystère .                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 

Pourquoi le démon de la curiosité habite maintenant notre héros ?

Toujours mystère.

Tentons une explication: nous célébrons cette année l'anniversaire de la disparition  de Boris VIAN .

Boris VIAN "touche à tout de génie" comme disent les biographies, est un des artistes qui a lancé des passerelles entre Théâtre ( art plusieurs fois millénaire) et le jeune cinématographe (tout petit centenaire)

Devenu une industrie le cinéma puise néanmoins sa matière première chez les poètes, les auteurs, les comédiens. VIAN est l'un d'eux, alors il écrit, il traduit, il chante, il jazze, joue, critique, s'indigne et déserte .

Quel rapport dites-vous ?

Je vous reponds ceci : et si le Théâtre n'existait pas ? Quid du cinoche ?

Conclusion : pour célébrer le ciné nous avons besoin du Théâtre  CQFD !

 

PIRANDELLO et DEVILLE plantent le décor, l'ami PREVERT nous invite à la politesse et Boris de conclure avec un collage de poèmes de chansons et quelques séquences de «  Cinémassacre » bien senties.

Silence ... Moteur ... ACTION !

 

 

 

Jean-Louis DEVILLE

 

 

 

 

 



10/03/2009

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